samedi 21 décembre 2013

Le Grand "R" en image


Un convoi de plus de 20 véhicules cela laisse des traces et 70 + marcheurs cela ne passe pas inaperçu ! 


La vie suit son cours


Les pêcheurs du dimanche semblent concentrés.


Notre colonne s'étire, nous longeant le barrage, les locaux suivant sur la piste.


    Le guide a ramassé des plantes pour faire un décoction pour soigner les problèmes de peau de son bébé. On dirait le "soigner le mal par le mal" car il n'a choisit que des feuilles piquées. 


     Pleine saison pour la récolte du riz. Même avec bébé dans le dos, les femmes travaillent aux champs. Ah, mais oui, on vient de passer les hommes qui pêchaient. Riz et poisson ce midi ?


    Cette fois un nombre incroyable d'enfants de villages environnant nous ont "accompagné", en tatanes ou pieds nus, doublant presque le nombre de marcheurs. Nous étions l'attraction du jour !


    En route ils ont ramassé leur "bonbon" ... le pain de singe-baobab. Pour ouvrir la gousse, ils cognent celle-ci sur un gros cailloux. Pas grand chose à l'intérieur car ce n'est pas encore la saison.


La sécheresse est présente, pas bizin de s'éloigner si loin que cela du barrage pour le constater.


Au détour d'un mur, une femme tissait, ne s'émotionnant pas de cette foule l'entourant.


Heureusement que le taurillon était attaché, car il semblait prêt pour la corrida !


     Les briques faites 'maison' et localement sèchent avant usage.


Dans ce coin les animaux sont nombreux.


La traversée d'un rigodon a demandé un peu de patience et d'organisation.


Le seul dilemme était "on se mouille les pieds ou pas ?"


     Pauvre femme, la charrette dirigée par un gamin rieur est passée sur le vélo. Plus de peur que de mal, la roue n'est pas voilée et il y avait de l'aide pour fixer le chargement.


    Les baobabs pourraient tous nous raconter une histoire tant ils paraissent torturés.
      Pour passer la N6 Ouaga-Léo il faut s'organiser pour faire notre propre circulation, sinon mobylettes ou vélos vont essayent de se faufiler entre les marcheurs qui traversent sans états d'âmes.


     Même dans la brousse sur une case on aperçoit parfois la technologie. Dans ces zones ils n'ont souvent pas d'électricité alors parler télé ou satellite, cela parait d'un autre monde. Sur que cette maison accueille foule la nuit venant et les jours de match de foot ou grands événements.


Chaque village a sa mini église et/ou mini mosquée. Lieu de repos pour tous !
Boulbi 8 déc 2013 

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